Si le projet de loi qui vous est proposé (…) admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme
Article L. 2223-2 du code de la santé publique :
« Est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30000 euros d’amende le fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables. »
La loi s’est depuis complètement inversée, avec la création du délit d’entrave, qui condamne le fait de dissuader une femme d’avorter. L’exact opposé de ce que proclamait Simone Veil.