La situation 40 ans après n’a pas changée. Avorter reste un acte beaucoup trop violent pour qu’il n’affecte pas la psychologie des parents. Le discours ambiant tend pourtant à présenter l’avortement comme un acte médical bénin qui ne donne lieu à aucune séquelle. La Loi Veil avait pour but de préserver les femmes et de leur éviter des souffrances, pas de reporter la souffrance sur un autre terrain.